Il y a des excuses que l’on se donne en sachant très bien, au fond de nous-même, que l’on est d’une mauvaise foi caractérisée.
Et des prétextes pour procrastiner, la vie de bureau t’en sert un paquet, sur un plateau.
Voici la liste non exhaustive des raisons bidon pour ne rien glander au boulot :
Le problème informatique
« Internet ne marche pas » ou « il y a un souci avec le serveur » sont du pain béni pour toute personne qui a décidé de ne pas bosser. Là, pas si pressé de régler le problème, tu appelleras mollement le service informatique en croisant les doigts pour que l’équipe soit débordée.
La panne de café
« La machine à café est hors service ». La bonne excuse pour procrastiner de bon matin. Comme par hasard, tu deviens alors cette personne qui ne peut pas se mettre à bosser avant d’avoir bu son café. Tu vas aux autres étages pour aller en chercher un, tu parles de la panne à tous les collègues croisés, et te démènes pour te renseigner sur le problème technique auprès de la maintenance. Bref, tu déploies des trésors d’imagination dans le simple et unique but de procrastiner.
Le mauvais timing
« Ça va, je suis large ». Cette auto-persuasion, sous-entendant que tu as raison de ne pas bosser parce qu’il te reste plein (trop) de temps, est un grand classique. Elle te promet à coup sûr de te retrouver surstressé comme jamais au moment où il faudra boucler ledit projet.
Dans la rubrique timing, il y a aussi le ridicule : « ça ne vaut pas la peine que je commence quelque chose maintenant ». Parce que : « j’ai une réunion dans 30 minutes » ou « je pars bientôt déj’ », par exemple . Nous pouvons juste ici statuer sur le fait que tu es une grosse feignasse.
Le ressenti gênant
On parle ici de tout ce qui visiblement t’empêche viscéralement de te mettre à bosser. La palette est large et va du « j’ai froid », au « j’ai faim », en passant par le «ça sent mauvais dans l’open space».
Le moral en berne
Imparable est le joker du : « c’est pas mon jour ». Cette excuse magique est censée mettre en avant le mal-être inextricable qui t’assaille. Devant ce constat sans appel, il est évidemment bien plus sage de procrastiner et ne pas bosser…
Les jeux de pouvoirs
Ici, deux points de vue s’opposent tout en se rejoignant dans l’art de procrastiner.
L’un peut se dire : « c’est moi le boss ». Cette observation te permet de ne pas en foutre une ramée. Au pire, il y aura tes collaborateurs pour trimer à ta place.
De l’autre côté un bon « mon boss est pas là donc je glande » est un argument imparable.
La « maladie »
« J’ai mal au cœur », « j’me sens pas bien », « je crois que je couve quelque chose ». Tu es trop mal, vraiment, tu ne peux pas bosser.
Et toi, quelles sont tes excuses pour procrastiner au bureau ?
Tu as aimé cet article ?
Abonne-toi pour être averti à chaque nouveau post (et reçois un chouette cadeau pour le bureau).
Fonce en libraire découvrir Comme un lundi au bureau, le livre anti-déprime pour affronter avec le sourire la vie de bureau.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.Ok
février 25, 2017
« Ca va, je suis large » aahhahah THE STORY OF MY LIFE 🙂 (Jusqu’au moment où « bordel de m***e, je suis à la bourrrrrre!!)
février 27, 2017
C’est clair, c’est automatique !!! On ne peut pas être du genre à se dire « c’est bon, je suis large » sans se retrouver en mega stress à la fin… 😉